Vin rosé bio - Mon bien aimé... - Monastère de Solan
(22,60 € / L)
MON BIEN AIMÉ AVAIT UNE VIGNE - Appellation : IGP Cévennes
Couleur: Rosé
Cépage : Ce vin rosé est issu d’un assemblage de Carignan, Cinsault, Syrah et Vermentino
Belle robe rose saumon. Nez fruité aux notes de pêches et de fruits rouges. En bouche, un vin rond au goût de fruits rouges. Un rosé de gastronomie.
Vendanges : Les vendanges sont effectuées à la main, en caisses, en triant soigneusement les grappes sur la parcelle pour n’encuver que des raisins parfaitement sains, de sorte à pouvoir baisser les doses de SO2.
Cuvée Mon bien aimé avait une vigne - Rosé
Fournisseur : Monastère de la Protection de la Mère de Dieu de Solan
Contenance : Bouteille de 75 cl ou carton de 6 x 75 cl
Fabriqué en France, à l'abbaye
Pourcentage alcool en volume : 12,5% Vol. Conformément à la règlementation, produit non vendu aux mineurs. L'abus d'alcool étant dangereux pour la santé, nous vous invitons à consommer ce breuvage avec modération.
Vinification : Le rendement n’excède pas 50 hl/ha.
Pour répondre à la diversité de nos terroirs, nous effectuons des micro-vinifications en vendangeant chaque parcelle en fonction de sa maturité.
La fermentation malo-lactique est achevée, conférant ainsi à la cuvée une stabilité micro-biologique, tout en gardant une teneur en SO2 faible.
Dégustation et Accompagnement : Belle robe rose saumon. Nez fruité aux notes de pêches et de fruits rouges. En bouche, un vin rond au goût de fruits rouges. Un rosé de gastronomie. Il se déguste rafraîchi (10°C) après avoir été aéré une demi-heure, sur les viandes grillées, les poissons en sauce, les charcuteries et toute la cuisine provençale estivale. A boire dans les 2 ans.
Pourquoi l'agroécologie ?
"Nous arrivions dans un contexte difficile pour l'agriculture et il nous fallait faire face aux réalités du monde rural d'aujourd'hui, avec des questions d'ordre économique (comment vivre de la terre à notre époque ?) et d'ordre éthique (quelle qualité alimentaire pour les produits que nous allons vendre et dont se nourriraient nos frères les hommes ? ).
L'occasion nous fut donnée, avec cette terre dont nous nous sentions plus responsables que propriétaires, de faire des choix cohérents avec ce que nous sommes avant tout : chrétiennes, membres de l'église qui est Corps du Christ. Occasion aussi, dans le monde d'aujourd'hui, tellement à la recherche de ses racines spirituelles, d'ouvrir un chemin qui témoigne d'une vision spirituelle chrétienne de la matière. Dans la foi, nous puisions la conviction que l'homme n'a pas été placé par Dieu dans le monde pour le dominer, à la recherche d'un profit sans limite, mais que sa fonction est d'être comme le chef de choeur d'une création faite pour chanter la gloire de son Auteur.
Mais comment concrètement réaliser ce beau projet ? Certains de nos amis, en économistes chevronnés, nous suggéraient d'arracher toutes nos cultures et de faire autre chose ; la mise en place de l'agriculture biologique était pour nous une évidence, mais ce domaine, déficitaire au départ, ne pouvait l'assumer ; au total, il était déraisonnable de se lancer dans une agriculture à échelle familiale, à l'heure où toutes les petites exploitations fermaient ou étaient absorbées par les industriels de l'agriculture. C'est à l'époque de ces dilemmes que nous avons rencontré Pierre Rabhi, et que nous avons pu réellement aller au fond des choses. Il a osé nous dire : la terre, c'est l'avenir ! et nous a fortement conseillé de ne pas l'abandonner. Et nous nous sommes lancées."
Fiche technique
- Produit Bio
- Produit issu de l'agriculture biologique